Nos Années Lycée
LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 2i9ntph
Nos Années Lycée
LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 2i9ntph
Nos Années Lycée
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Nos Années Lycée

Lycée
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

 

 LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Lullaby B.W.

Lullaby B.W.


Messages : 1
Date d'inscription : 20/03/2010

LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg Empty
MessageSujet: LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg   LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg I_icon_minitimeSam 20 Mar - 2:33


Lullaby
Baihtlyn Williams


    .Identité


    LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 9783682182654
      Prénom : Lullaby
      Nom : Williams
      Age et Date de Naissance : 18Février 1992
      Equipe : Bad People
      Secret : A un serieux problème avec l'alcool et la drogue .


    .Caractère


    LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 33674315168517
      Psychologie : La psychose de Lullaby est simple ; être rebelle et libre ; sans finir comme sa mère . Faire tout se qu'on veut , quant on veut , elle veut rester simple et discréte , se fondre dans la masse des gens . Même si elle est discrète ; elle est toujours invitée dans les soirées et les After Party . Elle veut toujours tout contrôler et decider . Elle veut toujours avoir raison et organiser . Elle deteste parler en public et prefere ecouter les autres parler .
      Qualités : Sympa • Protectrice• Fetarde
      Défaut : Torturée • Mystèrieuse • Icontrolable
      Aime : Tout se qui touche a la fête .
      Déteste : Les petasses et le vernis à ongles


    .Physique


    LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 74549830856918
      Tenue Vestimentaire : Lully n'est pas une Fashion Addict mais elle s'habille bien ; elle prend soin d'elle mais sans plus . Elle prèfère s'acheter des robes courtes que des pantalons . Vu son budjet restreint en fringues ( elle depense tout son argent dans les fetes ) elle ne peux pas beaucoup de faire plaisir dans les magasins de luxes .
      Physique : Lullaby est une jolie jeune femme, ni trop grande ni trop petite, dans la moyene quoi. Ses cheveux sont bruns, aux reflets roux au soleil, ils ondulent joliement sur ses épaules. Dernièrement elle a une idée dernière la tête cette idée se teindre les cheveux en blond, elle n'est jamais contente de sa couleur de cheveux, ce qui explique pourquoi elle se les ais déjà teint en noirs, coupé court et autre lubie dans le genre. Elle a de jolis yeux bleus qui qui deviennent plus clair quand elle est au soleil, parfois quand il pleut ses yeux deviennent gris. Elle porte souvent des robes et de jolies hauts. . Elle ne se maquille pas ou alors très peu, elle préfère rester naturelle. Elle aime aussi tout ce qui est bijoux (bracelets, bagues, colliers) et en porte souvent, elle ne se sépare jamais d'un collier qu'elle porte tout le temps et dont elle ne se sépare jamais.. Elle possède aussi un tatouage sur la nuque en forme d'étoile..
      Autre : .


    .Histoire


LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 2407282q2og9k LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 3907062myd7rbLULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 858766n1wcgw
....
  • - Flashback: Nous sommes le dix-huit octobre. Je crois. Je pense que ça fait plusieurs jours que je suis couchée là, à ne rien faire, à dormir ; enfin, si l’ont peut appeler ça dormir. Je comate et vois des couleurs plutôt. Je compte les moutons mais cela m’ennuie. Et puis, je les entends parler au loin. Je pense que ce sont des docteurs. Je veux me réveiller et leur dire que tout va bien mais je sens que mon corps n’en a plus la force. Mon cerveau est brouillé, comme d’habitude. Car tout ce dont je me souviens est d’avoir pris cette pilule que je prends quotidiennement. Mais elle est censée me calmer, pas me faire mal. Pourtant, après quelques secondes, je me suis écroulée. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude d’avoir mal. Mais là, ça faisait vraiment mal. Mon cœur a fait des bonds dans ma poitrine, comme s’il voulait s’arrêter. Mais, avec les dernières forces que j’avais, je lui ai ordonné de continuer à battre, du moins très lentement. Mon cerveau était fatigué, comme tout le reste de mon corps. Était-ce la fin de la petite boucle qu’a été ma vie ? Peut être bien. J’ai entendu les secours. Je repris espoir lorsqu’ aveuglée, je vis cette lumière blanche…



    Je m’appelle Lullaby . C’est un joli nom, non ? J’habite Sydney. C'est la capitale de l'Australie et l'Australie est une île géante. C'est tout ce que je sais. C’est normal, Je n’ai que dix ans. J'ai une grave maladie. Je ne sais pas très bien ce que c'est mais je me retrouve sur un lit d’hôpital ; et ce tous les dix du mois. Contrôle mensuel, disent-ils. Je ne peux jamais boire de coca-cola, ou autre boisson excitante. Je dois aller dormir tous les jours à dix-neuf heures. Oui, j’ai besoin de beaucoup de repos. Je ne peux pas être exposée à des éclairages trop forts et je suis obligée de manger toutes les quatre heures. Le matin, je suis très faible car je ne prends pas le temps de me nourrir pendant la nuit, il ne faut pas exagérer.

    Je n’ai pas parlé de mon père. C’est normal, il n’existe pas. Enfin si, il existe ; mais je ne sais pas où il est, ni ce qu’il fait. Je n’en ai pas, mais je m’y suis fait. Pourquoi n’a-t-elle pas pris le temps de m'expliquer? Tous les parents le devraient. Mais ma maman n’est pas comme les autres mamans. Je ne sais pas expliquer, je ne peux pas ; ça me dépasse. Elle pleure souvent, mais je ne sais rien y faire. Parfois, elle ne me fait même pas à manger. J’ai faim, mais je ne dis rien. Du plus profond de moi, pourtant, je suis effrayée. J’ai peur de la perdre, elle aussi. J’essaye de lui faire des câlins, mais elle ne veut pas. Elle a comme un blocage depuis que papa est parti.
    Tous les jours, je dois être à huit heures devant la villa, le bus jaune vient me chercher à huit heures deux et je n’ai pas le droit d’être en retard. Brad, lui, n’arrive pas toujours à l’heure, alors il court après le bus, et cela me fait rire. Á l’école, j’ai beaucoup d’amis. Ils sont tous plus âgés que moi, car j’ai sauté deux classes. Ils m’admirent. La maîtresse leur a dit que j’étais une bonne camarade ; et que s’ils voulaient réussir, il fallait être mon ami(e). Moi, je m’en fous d’eux. Je m’en fous de tous, sauf de Brad ; C’est vraiment un super copain.
    Un jour, la maîtresse m’a demandé d’attendre dans un bureau. Ce jour-là, j’étais vraiment très triste car maman n’avait encore une fois pas dormi. Quelques minutes plus tard, un homme, que le directeur appelait « psychologue » est entré. J’avais peur, je ne le connaissais pas. Il pensait, et je cite, « qu’une présence masculine me ferait le plus grand bien ». Ils me prenaient pour une détraquée ou quoi ? J’avais assez d’amour. Certes, maman ne me le montrait jamais ; mais peu importe, au fond d’elle, je savais qu’elle m’aimait plus que ces pilules qu’elle prenait deux fois par jour. Enfin, au plus profond d’elle.
    Moi aussi je devais prendre des pilules. Le docteur disait que c’était pour grandir, mais je ne le croyais pas. Pourquoi tous les adultes mentent-ils ? Je savais très bien que c’était pour soigner mes crises incurables. Ils pouvaient tous me raconter ce qu’ils voulaient, je savais que j’allais traîner ce fardeau encore longtemps, même quand je serai adulte, comme maman. Vous allez me dire que ce n’est peut-être pas le genre de modèle idéal qu’une petite fille devrait avoir, mais je croyais en ma maman ; et je savais qu’elle un jour, elle serait guérie. Pour ma part, j’avais moins d’espoir.

    Vendredi, je rentrai à la maison vers quatre heures. J’étais faible, et me ruai donc vers le frigo. Je pris une barre de chocolat et un verre de lait accompagnés d’une pilule. Cela devrait me donner assez de force jusqu’au dîner. Mon quatre heure était rythmé aux sons des pleurs et des gémissements encore plus horribles que ceux de la veille ; alors, une fois mon goûter terminé, je montai pour voir.
    Je la vis étalée sur le sol.

    Un sentiment de peur l'envahit tout à coup. Elle ne savait pas quoi faire et était perdue. Ce n'était pas la première fois pourtant, mais elle ne savait pas encore bien gérer les crises de nerfs de sa maman, à nouveau effondrée sur le sol dur et froid. Elle regardait sa mère qui n'avait plus rien n'a perdre, si ce n'est sa fille. Elle entra et croisa le regard de cette dernière qui était définitivement noyé de larmes rougeoyantes. Son visage n'était que tristesse et désespoir; Mais Lullaby s'approcha..

    Lullaby: "Maman ? Réponds-moi enfin ne fais pas l’idiote !"
    Maman : "Tu ne peux pas comprendre. Tu ne comprendras jamais."
    Lullaby:"Tu arrêtes ! Il est temps de prendre une pilule maintenant, depuis quand ne l’as-tu pas prise ?!"
    Maman : "C’était il y a trois jours ma belle, mais ne t’inquiète pas, Je peux me ménager sans."
    Lullaby : "Pas question ! Tiens, j’ai ta pilule, tu la prends maintenant ! Sinon, j’arrête de prendre les miennes !"
    Maman : "OK ça va ! Mais calme-toi, c’est le plus important."


    Pendant ce temps, Lullaby réalisait qu’elle tenait dans sa main la pilule rose qu’elle avalait habituellement. Elle se rendit alors compte qu’elle avait avalé la pilule de sa mère, chose qui pourrait lui être fatale. Et cela le fut.

    J’étais dans mes songes, quand soudain mon corps fut pris d’un courage extrême. J’ouvris les yeux et vis le paysage trouble que je voyais à chaque réveil. Il n’y avait pas grand monde à côté de moi, mais ma mère était là. Elle ne pleurait pas. Elle avait l’air de s’en vouloir. Elle ne remarqua pas de suite que j’étais éveillée, mais lorsqu’elle le vit, elle me sauta dessus et me serra tellement fort dans ses bras que je croyais que j’allais exploser.
    C’est ce genre d’acte qui me fait aimer ma maman. C’est ce genre d’acte qui me prouve son amour. C'est triste à dire, mais j'aimerais bien avoir des accidents tous les jours pour qu'elle me montre qu'elle m'aime autant. Oui, car dès mon retour à la maison, rien ne changea. Cela s'empira même. Jusqu'au jour où ait lieu cet "accident"..




    PART TWO
    I'm a Bradshaw






Nanny Carrie : « Lully, réveille toi ma belle ! Cela fait belle lurette que tu t’es endormie »
Lullaby: « T’es qui ? »
Nanny Carrie : « Ca fait huit jours que je te réveille et que j’apporte tes repas. J’espère te voir en meilleure forme chaque jour. »
Lullaby : « J’ai pas besoin d’toi. Dégage. »

Ce matin là, Je me réveillai encore toute engourdie du sommeil profond dans lequel j’avais plongé treize heures plus tôt. Cela faisait d’ailleurs longtemps que je n’avais pas autant dormi. Je vis l’entourage chaleureux de la chambre de l’orphelinat qui m’accueillait depuis huit jours déjà. Aujourd’hui, cela faisait cent quatre-vingt douze heures que j’étais involontairement privée de ma mère. ; Enfin, si l’on peut appeler ça une mère. Toutes ces années, elle avait été là sans être là, comme un fantôme, ou plutôt une ombre, qu’on voit au loin dans la nuit. Sa vie s’est arrêtée ; ou plutôt elle a choisit d’arrêter sa vie, et ce en un coup de balle. Du haut de ses trente-huit ans, elle avait choisit de mettre fin à tout ; Il faut croire qu’elle l’a fait exprès. Enfin, c’est ce qu’ils disent pour ne pas me blesser. Moi j’appelle ça tout simplement un suicide et sachez que depuis ce jour, je méprise cette femme.

Pendant que moi je tue le temps, eux essayent de me trouver une famille d’accueil. Ils veulent faire vite pour me faire plaisir car demain, c’est mon anniversaire. C'est vraiment le seul cadeau qui pourrait me faire plaisir. Je serai, pour la première fois, complètement seule. Je vais avoir onze ans. Que peut-il bien se passer à onze ans ? Strictement rien. Enfin, c’est ce que je pensais avant de recevoir cette lettre étrange. On me l’apporta à minuit une. On me dit qu’un homme était venu déposer cette lettre, qu’il désirait me voir et me parler en privé. Je sortis. Les femmes de ménage, comme je les appelle, avaient l’air effrayé devant cet homme imposant. Il me salua, je le suivis.

Monsieur Bradshaw: « Bonsoir jeune demoiselle, j’espère que je ne te dérange pas. »

Lullaby hocha la tête, négativement. Elle ne sentait pas ce grand homme terrifiant.

Monsieur Bradshaw : « Je ne te veux aucun mal, je suis là pour te donner les réponses aux questions que tu te poses depuis onze ans. »

Lullaby remarquait une légère ressemblance entre cet homme et elle. Son regard était plongé dans ses yeux amandes. Elle désirait du plus profond de son coeur qu'on lui explique tout ; Qu'on arrêtte de lui mentir et qu'on lui expose la vérité telle qu'elle est.

Lullaby: « Je suis toute ouïe.»
Monsieur Bradshaw: « Et bien voilà. Tout d’abord ton père ne t’a jamais abandonnée. Il te surveillait toutes les secondes de toutes les heures de ces onze années. Il t’a toujours aimé. Tu te demandes sûrement pourquoi je te dis tout ça, et surtout comment je le sais. Pour la simple et bonne raison que ton père, c’est moi. »

Pardon ? Se foutait-il de moi ? Moi, un papa ? Un vrai ? J’arrivais à peine à décrire les sentiments qui m’envahissaient peu à peu. C’était peut-être une sorte d’euphorie mêlée à de l’enthousiasme. Il continua alors dans ses explications :

Monsieur Bradshaw: « Tu seras sûrement encore plus surprise en apprenant que tu as une famille à présent. Tu as une sœur, qui a à peu près ton âge. Elle s’appelle Meteora et je suis sûre que tu t’entendras à merveille avec elle. »


Alors là c'était la totale. Voilà que je retrouve mon père et que je suis déjà obligée de le partager avec une fille qui, elle, l'a depuis onze ans. Enfin, peut-être qu'elle sera une chouette copine, qui sait? Le monsieur, enfin, Papa, me dit d'aller faire mes bagages. Il dit que nous devons partir de suite. Je n'agis pas directement, tellement la nouvelle m'avait laissée sans voix.

Lully monta les marches tellement vite qu'elle arriva essouflée en haut. Décidemment, elle ne comprenait vraiment pas ce qui lui arrivait . Elle fit ses bagages en essayant de ne rien oublier, puis descendit gaiement, près à suivre son... père.

C'était une très jolie maison, nous y entrâmes et je vis la famille réunie pour la première fois. Il y avait sa maman, C'était une très belle femme pleine de grâce. Elle semblait chaleureuse et heureuse de m'accueillir chez elle. Je fus rassurée.
Et puis je vis ma soeur. Elle était un peu en retrait et me lançait des petits regards. Elle semblait plutôt méfiante. Je pris peur. Je voulais vraiment qu'on s'aime comme des soeurs, elle et moi. Je me retournai vers mon père. Il semblait las de tout ça et fatigué par le voyage, je l'aimais déjà un peu moins.
Timidement, je me dirgeai vers Meteora et lui fit un bisou. Elle fut surprise mais il me semblait que ce bisous l'avait rassurée.


Lullaby: « Salut, ça t'dit de me montrer ma chambre? »
Meteora: « Ouais, suis-moi. »


Elle me montra d’abord la sienne. Il y avait plein de photos d’un jeune homme dont j’ignorais l’existence.

Lullaby: « Meteora, c’est qui ce garçon ? »
Meteora: « C’était mon frère, il a été attaqué par un soldat et est mort sur le coup. Je viens de l’apprendre aujourd’hui. »

Il y avait beaucoup de mots que je ne comprenais pas dans sa phrase, mais je ne pris pas le temps de le lui demander. Moi qui n’avais jamais connu le mot « famille », je fus réellement triste pour elle. Dans un geste affectif je l’enlaçai pour lui montrer à quel point j’essayerai d’être là pour elle. Elle commença alors à pleurer dans mes bras. Je ne pense pas que c’était le genre de fille qui craquait mais pourtant, elle s’ouvrit à moi et déballa la haine qui la hantait jusque là. Je pense que c’est à partir de ce moment là que l’on devint sœurs pour la vie





LAST PART
Who am I?




Warning petits agneaux ceci pourrait porter atteinte à votre âme pure.



Tel fut mes derniers mots, quittant cette école qui avait été mon foyer durant ces sept dernières années, aussi paisibles qu’elle eussent été. C’étaient sept années d’épanouissement, et de découvertes. Je n’y connu pas l’amour. Non, je n’en avais pas envie. J’y connu l’amitié et un sentiment bien plus fort, celui de la famille. Car, certes, je n’ai jamais été plus proche de Meteo qu’à cette école . J’étais là pour la prendre dans mes bras quand elle craquait et elle était là pour me soutenir lors de mes crises. Elle seule savait ce qu’il fallait faire dans ces cas là. Personne ne pouvait m’approcher. J’en faisais de moins en moins. Mais quand j’avais une crise, je crevais de mal. C’est comme si mes organes désirais trouver un exutoire hors de mon corps, qu’ils ne voulaient plus de moi. Bref, Meteo m’ordonnait de redoubler d’attention. Mais elle n’était pas toujours là et je ne savais pas faire attention seule. C’est pour cette simple raison que je ne faisais pas attention, tout simplement.

(…) -


    .Qui se cache deriere ce personnage


    LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg 6187808792573
      Prénom : Victoire
      Surnom : Vic'
      Autre : Je sais pas
      Comment as-tu trouver le forum ? : Partenariat
      Comment le trouve-tu ? : Très bien ;j'adore le Header !
      Qu'aimerais-tu changer ? : Je sais pas .
      Présence sur le forum ? : .6.5/7
      Célébrité : Kristen Stewart
      Code : .Ok by Rosalice
Revenir en haut Aller en bas
Rosalice Lowell
Admin
Rosalice Lowell


Messages : 15
Date d'inscription : 14/02/2010

LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg Empty
MessageSujet: Re: LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg   LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg I_icon_minitimeSam 27 Mar - 21:40

Bienvenue parmi nous Lullaby Smile
Ta fiche est super alors voilà pour moi c'est Ok
Je te Valide
Revenir en haut Aller en bas
https://nos-annees-lycee.fra.co
 
LULLY is Here ! • La beauté est la seule vengeance des femmes. -Gainsbourg
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Nos Années Lycée :: ••Présentation :: Fiche Validé-
Sauter vers: